Hors cadre, Les opticiennes-coiffeurs et L’IEO del Vilafrancat proposent
Deux concerts à la Chapelle St Jacques – VENDREDI 5 AVRIL – 20h00
JERICHO (Traditionnel occitan revisité – La Novia)
CHICALOYOH (Rêverie drône magnifique / Beauregard)
Prix libre
JERICHO
De Dreit Nien, Le pur Néant est pour les troubadours le grand péril amoureux et son expression ; l’absence, la suspension au dessus du vide poétique, la perte de la matière et du sens.Seule folie d’amour peut le repousser momentanément. Mais pour ne pas sombrer il faut donner du corps à cette folie, écouter le gel et le vent, goûter le rai lumineux, le chant des oiseaux. Lui donner corps c’est faire oeuvre, “OBRAR”.A travers des textes de Marcelle Delpastre, Jan dau Melhau, Guillaume IX d’Aquitaine et des thèmes traditionnels Jéricho suit les sentiers amoureux. De l’obscurité à l’éblouissement.
JERICHO est ses membres font partie du collectif LA NÒVIA. Ce collectif basé en Haute-Loire réunit des musiciens professionnels résidant sur un large territoire – Auvergne, Rhône-Alpes, Béarn, Cévennes, Hautes-Alpes, Alsace. C’est un lieu de réflexion et d’expérimentation autour des musiques traditionnelles et/ou expérimentales. La pluralité de ces acteurs – musiciens, graphistes et enseignants – crée une dynamique et une cohérence esthétique forte.
- Clément Gauthier / chant, chabrette, tambourin à cordes
- Jacques Puech / chant, cabrette
- Antoine Cognet / banjo
- Yann Gourdon / vielle à roue, pieds
- David Fauroux / Technicien son
https://www.la-novia.fr/jericho.php
https://la-novia.bandcamp.com/album/j-richo-2
CHICALOYOH
Projet solo d’Alice Dourlen, en perpétuelle mutation depuis 2011. Son univers folk wave climatique semble tout droit sorti d’un rêve éveillé. Pulsations abstraites, électronique au bord du gouffre, trompette ésotérique et diableries orientalistes créent de toute pièce un cabaret unique en son genre. Sur scène, elle théâtralise des ritournelles captivantes aux refrains fantasmagoriques dans une performance minimaliste évoquant aussi bien le spectre de Nico que l’ombre de Phew.
